SCÉNOGRAPHIE
Avec Stéfan Boucher, Maya Kuroki, Olivier Landry-Gagnon, Justin Laramée, Catherine Larochelle,Louis-Olivier Mauffette, Jean-François Nadeau, Emile Schneider, Emmanuel Schwartz et Guillaume Tremblay
Composition/direction musicale Stéfan Boucher assisté de Olivier Landry-Gagnon
Assistance Julien Véronneau Dramaturgie Marie-Claude Verdier Scénographie François Blouin Costumes Sarah Balleux Lumières Étienne Boucher Maquillage-coiffure Florence Cornet Accessoires Julie Measroch Mouvement Simon-Xavier Lefèbvre Langage des signes Sarah Turbide
Cette épopée de la Grèce antique naît d’une histoire d’amour : le Troyen Pâris a enlevé l’épouse de Ménélas, la Grecque Hélène. Cet affront a soulevé la colère des Grecs qui sont partis pour Troie, une ville d’Asie, afin de libérer la captive Hélène. Cependant, Achille, le plus grand guerrier grec, refuse de participer aux combats, prétendant avoir été insulté et trahi par les Grecs. Mais la vérité est ailleurs. Un oracle lui a annoncé que s’il entre dans cette guerre, les Grecs vaincront et il mourra. Achille entre alors dans un dilemme plus grand que son courroux, dans une agitation plus trouble que les hostilités et il devra choisir : livrer bataille et ainsi mourir dans la gloire ou se résigner à vieillir dans l’oubli.
Le metteur en scène Marc Beaupré choisit, dans son adaptation, le verbe pour glaive. Ni arme, ni sang.
Résolument moderne, cette Iliade de Beaupré est aussi celle de dix comédiens, habités de la conception musicale de Stéfan Boucher, qui scandent, rythment et offrent ces mots pour illuminer leurs actions et leurs gestes. La parole d’Homère, poète du VIIIe siècle avant J.-C., transportée par la musique et le rythme, est déclinée d’autant de métaphores sur la vie et la mort que sur la guerre et l’organisation de l’homme face à ce chaos.
Un vertige musical et une histoire qui chavire pour mieux comprendre qui nous sommes et surtout les rêves que nous portons.
MISE EN SCÈNE / ÉCLAIRAGES / SCÉNOGRAPHIE / CONCEPTION VIDEO
Hamlet_director’s cut, c’est Hamlet de Shakespeare… raconté par Hamlet lui-même.
Solo avec capture de mouvement live sur scène.
Hamlet, seul en scène, s’explique à lui-même la tragédie de sa vie: son oncle a assassiné son père et séduit sa mère. Autour de lui, aucun interlocuteur, aucun décor, aucun accessoire. Juste des ombres. Les siennes. Échos virtuels créées en temps réel devant nous. Son principal protagoniste? Lui-même.
Dans cette quête de sens qui passe par l’art (l’exercice d’organiser le chaos de sa propre vie) et qui s’emballe devant l’absurdité de la souffrance, Hamlet racontera malgré lui, mené par son doute, une bonne partie d’Hamlet de Shakespeare.
La mise en scène du spectacle est basée sur de la capture de mouvement en temps réel et reprojetées sur des tulles devant l’acteur, nous plongeant ainsi aux fins fonds de l’imaginaire d’Hamlet.
Texte original : William Shakespeare
Traduction : Jean-Marc Dalpé
Adaptation et mise en scène : François Blouin et Marc Beaupré
Interprétation : Marc Beaupré
Conception scénographique, visuelle et éclairage : François Blouin
Programmation créative : Hugo Laliberté, Jonathan Jeanson
Conception sonore : Nicolas Letarte
Dramaturgie : Nicolat Guillemette
CONCEPTION DES ÉCLAIRAGES
Une production de Porte Parole en codiffusion avec La Manufacture
Texte : Annabel Soutar
Mise en scène : Marc Beaupré
Avec Solo Fugère, Ricardo Lamour, Nicolas Michon, Iannicko N’Doua, Alice Pascual, Joanie Poirier et Étienne Thibeault
Assistance à la mise en scène : Marie-Christine Martel
Décor, costumes et accessoires : Julie Measroch
Éclairages : François Blouin
Musique : Alexander MacSween
Régie : Julien Véronneau
Direction de production : Normand Vincent
CONCEPTION DES ÉCLAIRAGES
L’éclairage se devait de circonscrire des zones de jeux qui parfois devenaient réalistes, telles des cours, des rues, des pièces de maison, puis devenaient plus lyriques, l’espace d’un inconscient qui se dévoile, l’espace d’un souvenir retrouvé. J’ai travaillé l’éclairage au fur et à mesure des répétitions en écoutant le texte et en faisant un travail de mise en valeur de la présence des acteurs.
Texte : Annick Lefebvre
Mise en scène : Marc Beaupré
Interprétation : Maxime David, Sébastien David, Alexandre Fortin et Marie-Ève Milot
Scénographie et costumes : Romain Fabre
Éclairages : François Blouin
Conception sonore : Jacques Poulin-Denis
Assistance à la mise en scène : Julien Véronneau
Régie : Marie-Christine Martel
Direction de production : Camille Robillard
CONCEPTION DES ÉCLAIRAGES / SCÉNOGRAPHIE / COSTUMES
Le processus s’est échelonné sur quelques mois de collaboration et de recherche avec Marc Beaupré, le metteur en scène. J’avais envie d’évoquer la grandeur impériale romaine avec des matières brutes tel que le plywood et la tôle. L’espace devait se structurer pour mettre en valeur l’empereur, qui dans les faits, est un chef d’orchestre dans Caligula-Remix. J’ai travaillé l’espace pour que par moment, il soit le « théâtre » d’un orchestre, et par d’autres, il évoque un palais impérial.
Texte : Albert Camus
Mise en scène et adaptation : Marc Beaupré
Conception de l’éclairage, scénographie et costumes : François Blouin
Coryphée : Emmanuel Schwartz
Choristes : Michel Mongeau, Ève Landry, David Giguère, Iannicko N’Doua Légaré, Mathieu Gosselin, Alexis Lefevbre, Guillaume Tellier et Emmanuelle Orange-Parent
Conception sonore et musique : Louis Dufort
Direction de production, assistance à la mise en scène, régie : Julien Véronneau